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|Messieurs| Fête des pères : les hommes ont-ils perdu la bataille de l’émancipation et de la responsabilité ? 

Fête des pères
Fête des pères

La nouvelle génération d’hommes est-elle consciente de l’évolution fulgurante des mentalités féminines de notre époque ? De la transformation du rôle de la femme, de sa place dans la société ainsi que dans son foyer ? De l’indépendance et l’autonomie financière dont elles jouissent de nos jours ?

C’est fou comme la femme a pris autant de valeur en quelques années seulement lorsqu’on sait qu’un siècle s’est écoulé après l’instauration du suffrage universel masculin, en 1848. C’est bien en 1945 que les femmes deviennent en France  » électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes ». Malgré un siècle de retard dans la prise en main de leur rôle social, les femmes sont parvenues à s’imposer dans de grandes institutions et débats humanitaires de ce monde. Ainsi que dans son foyer où elles portent une plus grande responsabilité dans la bonne tenue de la maison, la santé (fibre maternelle beaucoup plus forte) et l’éducation des enfants.

Aujourd’hui, non seulement elles se détachent de plus en plus de la « tutelle » masculine, mais elles parviennent à force de travail et d’engagement à répondre à leurs propres besoins primaires, à occuper des postes à responsabilité tout en conciliant une vie personnelle (familiale) bien rythmée. Tout en gardant ce dynamisme et engagement dans leur propre réussite sociale. Les boards sont bourrés de femmes d’excellence qui entreprennent et développent des business fleurissant. Malgré la charge lourde qui pèse, elles parviennent à rester les héroïnes de leurs communautés.  Ce qui me fascine le plus dans la femme « nouvelle-génération » est que tout ceci a été fait dans le respect du sexe opposé et de la place du « chef ». Non, selon moi le féminisme ne revendique pas la place de l’homme, mais tant à une considération pleine, sincère et consciente de la valeur et l’opinion de la femme en tant qu’être humain.

Fête des pères : Les hommes devraient-ils devenir des féministes ?

Au vu de ces transformations au fil du temps, on se demande si les hommes vivront eux aussi un jour, cette transformation dans leur mentalité, pour matcher le nouveau mindset féminin de la génération actuelle ou du moins, proposer une nouvelle façon de « co-habiter ».

Le second aspect assez déroutant dans le rapport homme-femme de cette nouvelle génération est le bébé-isme dans lequel les hommes évoluent. La majorité restent des bébés-hommes qui, à plus de 30 ans, ne savent toujours pas ce que veut dire « être un homme ». Très peu se soucient de la responsabilité familiale dont ils ont la charge (famille de naissance) et pire encore, certains vivent encore chez leurs parents. Ces hommes ont un retard dans leur développement personnel. La raison ? Certainement parce qu’ils en sont encore à l’étape d’apprendre à faire leur lit, qui sait ?

À quel moment est-ce que les hommes ont-ils perdu la bataille de l’émancipation et de la responsabilité ?

Cela me ramène au film de Nancy Meyers, « Le nouveau Stagiaire », dans lequel Anne Hathaway dans le rôle de Jules, soulève une question qui m’a subjugué par son réalisme : « Comment en une seule génération, les hommes sont-ils passés de mecs comme Jack Nicholson et Harrison Ford à des jeunes hommes qui ne savent pas parler aux femmes, ne savent pas s’habiller, ne savent pas trouver de logement.« 

Ce passage m’a poussé à me demander _Quelle est aujourd’hui la réelle valeur ajoutée d’un homme dans son rôle à l’égard d’une femme?

Jusqu’à quand les femmes devront rester de « bonne figure » pendant que les hommes passent leur temps devant à jouer à la PlayStation ?

Ajouter à tout ceci, nous n’oublierons pas ceux qui deviennent père trop tôt, trop vite. Avant même d’être sorti de l’état de puberté, ils sont déjà parents.

À l’occasion de la fête des Pères, j’ai tenu à m’adresser aux hommes qui sont devenus des pères, mais qui restent des hommes. Des hommes à qui l’avenir à confier une responsabilité, un être précieux pour qui il faudra en être un exemple. À la fois pour assurer la longévité de sa famille, l’épanouissement de celle qui vous a rendu père, mais aussi pour l’équilibre d’un foyer sain, qui ne manque de rien.

Je fais confiance en votre éducation qui prendra le dessus lorsqu’un doute se posera dans votre esprit, en votre maturité qui se développera aussi vite que l’éclair lorsque le danger du manquement frappera à votre porte. Après tout, c’est de votre responsabilité, car vous êtes les leaders de cette société alors vous n’avez pas vraiment votre mot à dire. Vivement que vous soyez enfin des adultes !

|Santé mentale| Le bien-être nous rapproche de l’essentiel. Voici par où commencer !

Journée mondiale du bien-être
Bien-être
À l’occasion de la journée mondiale du bien-être, prenons quelques instants pour se rappeler l’importance du bien-être au milieu des challenges que la vie nous soumet.

Le bien-être dans sa peau et dans son esprit, dans son entourage et sur son lieu de travail. Prendre soin de soi n’a aucune limite d’espace ni de temps. Vous pouvez tout aussi écouter de la musique relaxante en tapant un email au bureau qu’en cuisinant votre poulet DG à la maison, tant que vous jouissez pleinement de ce moment.

Prendre soin de soi ne se limite pas qu’à soi, mais aussi à son environnement et toutes ces choses qui nous entourent. Osez le changement pour une restauration complète de votre réservoir énergétique. Changer la décoration de sa chambre, modifier l’emplacement des meubles du salon, acheter cette montre connectée dont on apprivoise tant le mode d’emploi. Même un léger changement peut avoir un effet positif et révéler votre authenticité. Le bien-être se réfère à tout ce qui nous entoure et contribue à une énergie positive et sereine !

Avez-vous déjà entendu parlé du Sound Healing (sono-thérapie) ?

Il s’agit d’une pratique utilisant les fréquences sonores pour permettre de délier les tensions physiques et mentales, de lâcher prise, de vous détendre et vous relaxer tout simplement. Cette thérapie alternative sur fond sonore procure la sensation d’un exercice de Yoga sans le moindre effort. L’apaisement d’une fréquence sonore qui se conjugue avec le mood et l’instant présent !

Miky Lagadec experte de la thérapie par le son, nous parle des bienfaits dans cet échange avec Holissence.

L’année 2021, nous a invité à intégrer des activités physiques et sportives pour une bonne santé mentale et surtout de re-profiter des bienfaits d’une routine beauté, remise en forme ou d’une petite balade dans le parc. Des habitudes dont on avait négligé les bienfaits !

Pour ma part, une bonne séance de Yin Yoga, cette pratique douce idéale pour se relaxer et harmoniser ses énergies ou alors une séance de coaching sportive (découvrez le profil de @tacoachnathi), est un must to do une fois par semaine. Bien-sûr accompagné d’une bonne playlist des nouveautés du Mboa

2022 nous emmène à une prise de conscience des choses dans leur ensemble et dans leur plus grande simplicité. Un pied devant l’autre, reprenons activement les commandes de notre bien-être.

|Santé mentale| Survivre aux complexes : comment j’ai appris à m’aimer !

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Terminé les complexes! Comment j'ai appris à m'aimer ?
Terminé les complexes! Comment j'ai appris à m'aimer ?
Complexes : mon histoire racontée…

Il était une fois, une jeune fille issue d’une fratrie de 6 enfants tous très différents les uns des autres, élevée par des parents aimants et très présents. Elle avait tout pour être heureuse, elle l’était même, mais ceci n’a duré que le temps de son enfance. À l’arrivée de l’adolescence elle se rend compte qu’elle n’est pas comme les autres filles, pas comme ses grandes sœurs car il lui manque ce qui à son sens définit au mieux une femme, la rend belle et surtout attractive aux yeux des hommes. Elle grandit, prend de la taille, son bassin s’élargit, elle voit même ses menstruations mais il lui manque toujours des SEINS. Cette fameuse partie du corps qui sert de piège béant pour les hommes, cette partie du corps, qui lorsqu’elle n’est pas prononcée chez une femme peut provoquer des complexes d’une lourdeur sans pareil. La jeune fille se voyait grandir et allait à l’école chaque matin le cœur lourd, chaque jour il était de plus en plus clair pour elle qu’elle ne serait jamais une  NASTOU. Triste réalité !

Oups, excusez mes manières chers lecteurs, je suis Colombe votre nouvelle conteuse sortie tout droit de SAG et je vous partage dans cet article  mon parcours vers l’acceptation de mon corps et de ses différences mais surtout comment j’ai réussi à avoir une assurance sans pareil dans ce que je fais aujourd’hui et ce, en apprenant à m’aimer fort. Lorsqu’on rencontre les gens plein d’assurance et sûrs d’eux et de leurs potentiels aujourd’hui on a tendance à les traiter d’arrogants, de prétentieux ou encore d’imbus de leur personne. Vous savez quoi ? Parfois  c’est vrai, mais parfois c’est beaucoup plus complexe que ça. Dans certains cas nous sommes juste des survivants à une longue guerre de complexes qu’on a trop souvent dû faire seuls. Relativisions parfois !

Maintenant que les présentations sont faites, laissez-moi vous dire que ça n’a pas été facile du tout. Je faisais une fixation sur ma poitrine et je ne me trouvais ni belle, ni attirante parce que complexée par cette partie de mon corps qui refusait tout simplement de pousser. On nous avait pourtant dit en biologie que lorsqu’une fille devenait femme, ses seins se développaient et elle avait ses menstruations, et ces deux caractéristiques étaient aussi celles qui lui permettraient de procréer plus tard. Jamais et au grand jamais un professeur ne nous a dit que cette transformation biologique pouvait être différente d’une femme à une autre ou encore ne pas exister du tout. Ils n’ont pas normalisé l’absence de poitrine chez une femme. Imaginez donc ma gêne et mon désarroi à cette période.

Mais en classe de première (système éducatif français), j’ai eu le déclic. Un camarade de classe a commencé à me courtiser et lorsqu’il me « draguait » il me disait ce qu’il aimait chez moi : mon intelligence, mon courage et ma joie de vivre. Je lui donnais envie de sourire-comme c’est mignon- et  à force de discuter avec lui, j’ai commencé peu à peu à regarder ce que j’avais de beau et de bien et je me suis détachée petit à petit de mes défauts. J’ai fait une liste de ce que je savais faire et ce que j’avais. J’ai fait une liste de ce que la fille avec une grosse poitrine n’avait pas et ne savais pas faire (du moins ce que je voyais et savais). Cette liste a été le début d’un long voyage d’appréciation, de Self-estime et d’amour propre envers ma personne qui continue encore  aujourd’hui, encore heureux !

Qu’on s’entende bien, il s’agit là de mon expérience personnelle et de ce qui a marché pour moi de façon individuelle et surtout parce que je faisais avec les moyens de bord. Avec les années et les réseaux sociaux, j’ai affiné mon amour pour ma personne et transformé tout ce qui me hantait en assurance grâce à un travail de fond. Du coup je m’en vais vous lister 5 astuces pour apprendre à vous aimer :

  1. Faites une liste de ce que vous aimez sur vous, physiquement, spirituellement ou en terme d’aptitudes. Actualisez cette liste à chaque fois que quelqu’un d’externe à votre famille vous fait un compliment et lisez-la chaque fois que vous en ressentez le besoin.
  2. Apprenez à vous choisir, dites NON parfois juste pour le plaisir de ressentir que vous le pouvez. La plupart du temps quand on ne s’aime pas on a tendance à rechercher cet amour chez l’autre, et de ce fait on est toujours disponible, nous sommes toujours prêts à aider. Dites NON et choisissez-vous.
  3. Investissez du temps sur vous, trouvez ce qui vous fait plaisir et faites le à une fréquence raisonnable pour cultiver le sourire chez vous-même. Ne vous dédouanez pas du devoir de vous faire plaisir vous-mêmes. C’est votre travail.
  4. Si vous êtes complexé(e)s par une partie de votre corps, ne la fuyez pas, ne la cachez pas, AFFRONTEZ LA en vous regardant dans le miroir chaque matin. Le but ici est de s’habituer à se voir vulnérable et de normaliser la vulnérabilité chez soi pour ne plus jamais la voir comme un problème.
  5. Écoutez des Podcasts, des émissions, lisez (comme vous le faites actuellement, c’est TOP), regardez des documentaires, informez vous sur plusieurs sujets. On ne peut pas ne pas s’aimer si on se sent intelligent, c’est impossible. Non seulement vous serez occupés mais en plus, vous serez cultivés. Personne ne pourra vous déstabiliser.

Voilà !

Je pense qu’avec cette recette vous êtes bien partis pour aimer tout chez vous, assumer et embrasser vos défauts mais surtout vous appuyer sur vos qualités et vos forces pour apprécier au mieux la magnifique personne que vous êtes. Ça peut paraître simple comme ça en me lisant, mais ce n’est pas le cas. Rien n’est facile dans la vie, mais c’est nécessaire de le faire parce qu’au final la VIE on en a qu’une seule donc pourquoi la vivre avec amertume, dépression et peur ?

Comme on dit au Cameroun le riz c’est quoi quand le couscous chauffe ? . Donc faites comme moi les amis, choisissez votre Couscous.

|Santé mentale| Les clés d’une plus grande Estime de soi !

Estime de soi: 30 clés pour reprendre les commandes de sa vie de femme
Estime de soi: 30 clés pour reprendre les commandes de sa vie de femme

L’estime de soi, c’est le regard que l’on porte sur soi-même et l’appréciation qu’on fait de sa valeur ou de sa propre importance. Une personne qui a une bonne estime de soi se sent prête à affronter les obstacles que peut lui présenter la vie et elle a tendance à persévérer, à se battre.

Selon une source Dove, 89% des femmes ne se trouvent pas jolies. Seulement 4% se trouvent belles. Ce chiffre en dit long sur notre capacité à s’aimer et à se valoriser. Les temps difficiles que nous traversons n’ont pas arrangé le regard de l’humain sur sa personne.

L’estime de soi est une notion qui a justement pris de la valeur depuis ces 4 dernières années. Ce concept provient d’un besoin grandissant de s’auto-valider, de s’accepter au-delà de l’appréciation des autres et surtout de veiller à sa santé mentale.

« ESTIME DE SOI : 30 clés pour reprendre les commandes de sa vie de femme » est le nouveau livre de notre ambassadrice Ornella Tchuente, Auteure, entrepreneuse et influenceuse.

Ornella est une femme entreprenante, fondatrice de la communauté « Mummy’s Secrets » et de l’association caritative « Être & Vivre ». Amoureuse de la vie et de ses caprices, elle nous partage ses petits secrets pour nous aider à prendre la vie du bon côté, à travers des contenus pétillants sur Instagram.

Son tout premier livre « ESTIME DE SOI : 30 clés pour reprendre les commandes de sa vie de femme » est bien la représentation de sa nature à vouloir aider les autres. Nous aider justement à transformer radicalement notre vie en utilisant les bonnes méthodes !

Ces méthodes qu’elle applique elle-même au quotidien comme on peut le voir sur ces différentes story Instagram.

Commandez maintenant votre exemplaire du livre « ESTIME DE SOI : 30 clés pour reprendre les commandes de sa vie de femme »  sur Amazon

Retrouvez Ornella sur ses pages officielles :

Instagram

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www.ornellatchuente.com

|Santé mentale| De la dépression à l‘appropriation de ma destinée !

La dépresssion
|Santé mentale| De la dépression à l‘appropriation de ma destinée !

Cette semaine, sur le thème de la santé mentale, dans la rubrique La Story, la rédaction me confie les codes du clavier pour vous partager un bout de mon histoire tachée d’une dépression, ainsi qu’une partie de mon univers et mes passions.

Je suis Audrey Syntiche, j’ai 21 ans, je suis rédactrice SAG et autant vous dire que c’est le déclic crée après ma dernière dépression il y a 1an qui m’a mené jusqu’ici.

Depuis 5 ans, je vis avec un kyste synovial sur la main gauche. Un kyste synovial est une tuméfaction formée d’une poche remplie d’un liquide gélatineux au voisinage de l’articulation du poignet, en français facile : une boule sur le poignet. C’est une maladie bénigne et idiopathique raison pour laquelle je n’ai jamais senti le besoin de m’en débarrasser. En mars 2021, je commence à avoir des douleurs horribles au poignet. Fatiguée de consommer des anti-douleurs, je décide de voir mon médecin, qui me transfère chez un Chirurgien.

Mon premier rendez-vous était en début avril et j’ai été opérée le 13 juillet 2021 (je n’oublierai jamais ce jour). Ces 3 mois et demi ont été les plus difficiles de ma vie de nouvel adulte. J’arrivais à peine à travailler, je devais aller en cours et travailler sur des projets universitaires compliqués, je n’avais pas les sous pour des bons repas et tout allait mal dans ma famille au pays. Je pleurais parfois en cours, chaque soir dans mon lit et quand je rentrais d’un rendez-vous à l’hôpital. Devant les problèmes des autres, je faisais preuve d’apathie alors que je suis de nature emphatique. Ma seule prière était : Seigneur pourquoi moi ? Jusqu’à quand ? Dû au stress excessif, j’ai pris 5 kilos, ce qui me rendait encore plus fatiguée. Un seul jour ne passait sans que je ne pleure, j’en voulais à la vie d’être si dure avec moi alors que je fournissais des efforts. Comment à l’aube de mes 21 ans je souffrais par une maladie dont j’ignore les causes ? Pourquoi moi ? N’est ce pas mieux de mourir ? Oui j’ai pensé à la mort mais une amie m’a dit : « Fais attention et ne sois pas ingrate envers Dieu et la vie. » Elle avait raison, je passais des moments compliqués mais la difficulté est passagère. À partir de ce jour, je dormais chez elle pour parler quand j’en avais besoin et surtout pour arrêter de culpabiliser.

Le jour de mon opération : j’ai mis une robe décolletée car si c’était le dernier jour de ma vie, il se devait de me trouver jolie et sexy. Quand je me suis réveillée de mon anesthésie générale, j’ai dit que rien ne sera plus pareil. Il y aurait pu avoir des complications, j’aurais pu y passer, mais Dieu, ma famille et des amis étaient avec moi.

La même semaine j’avais un projet à terminer et un stage a trouver avec une main bandée, heureusement une amie sœur me faisait des bons plats. 5 jours plus tard j’ai rejoint ma sœur chez elle et à ses cotes commença mon processus de guérison. Je lui ai parlé de toutes les pressions que j’avais vécu, j’ai vidé mon cœur et ma gloire a débuté car j’ai eu mon stage. Le stage était difficile mais être entourée m’a aidé a exprimer toutes mes émotions refoulées et surtout à me reconnecter avec mes passions. Ma mère et mes autres sœurs aussi ont été d’un soutien incommensurable car elle me rappelait que je suis brave et que ce moment ne sera bientôt que souvenir. Je m’en suis sortie car j’ai accepté mes émotions et je me suis chaque fois ouverte aux autres.

En fin septembre, j’ai découvert la mise à jour d’Instagram (guides), je me suis lancée dans la rédaction de revues professionnelles et essais littéraires court. J’ai pu m’imposer dans le cœur de mes followers et j’ai gagné une audience plus grande. C’est d’ailleurs grâce à mes guides que Maiiva et Chimene me découvrent et m’intègre dans l’équipe SAG. Mon opération m’a permis de comprendre que le bon moment est aujourd’hui. Il faut commencer avec ce qu’on a, développer les différents talents qu’on a chaque jour et non plus tard. Rien n’est acquis encore moins le souffle de vie. En mars dernier j’ai lancé mon projet de toujours : la création de mon media DreySide. Aujourd’hui je suis dans l’accomplissement de ma destinée. Je le sens, je le vis, j’en suis heureuse et je sais que si je n’avais pas été au bord du gouffre, j’allais toujours garder mes rêves pour un lendemain improbable.

Chaque situation, aussi désastreuse et éprouvante soit elle, a pour but de nous fortifier, de nous édifier. Il faut juste accepter nos douleurs, demander de l’aide et se rappeler que tant qu’on n’est pas mort, ce n’est pas fini comme on dit au Cameroun, « Ndamba na Hemle » Quant à mon kyste, il est toujours présent, les douleurs aussi mais je le vis autrement. Je profite de mes proches, de mes dates solos ; je suis à fond sur mon projet. Il y a des jours où j’ai le moral à terre et j’en profite pour dormir. Quand j’ai la force comme au moment où j’écris cet article, je fais un maximum de choses.

Chère ambitieuse, je te souhaite d’être mentalement forte, de croire en toi et en tes capacités, de considérer chaque période difficile comme un escalier qui te mènera vers une gloire certaine. Je prie que tu sois entourée de personnes qui t’aideront à mieux te sentir et n’hésite pas à consulter tes amis.

|Event| Conférence exceptionnelle – Pour Manuella Kem, TOUT EST POSSIBLE !

Conférence exceptionnelle - Pour Manuella Kem, TOUT EST POSSIBLE !
ManuellaKem

Pour Manuella Kem, Tout Est Possible ! Et elle compte bien nous le prouver lors de sa première conférence exceptionnelle prévue ce dimanche 22 mai 2022 au Park Hyatt, à Paris.

Magalie Kalala de son vrai nom Manuella Kem, est une jeune maman et entrepreneure conseillère en image, d’origine congolaise. Nous avons tous suivi son ascension à la suite de la parution de son premier ouvrage consacré à sa vie de jeune veuve : Ceux qui s’aiment, sèment!

Dans ce livre où elle parle notamment de son mariage qui n’a duré que deux ans, de son amour inconditionnel pour son époux,  de sa reconstruction grâce à la foi et la présence de Dieu, ainsi que de la thérapie du deuil par l’écriture. Manuella nous livre ses clés de la sortie du chagrin.

Son second ouvrage intitulé Tu es plus fort(e) que ta douleur paru en avril 2022 est donc une suite de ses ressources pour aider les personnes à sortir du chagrin et des moments difficiles.

« Tout est possible à celui qui décide de reprendre sa vie en main et de se battre pour elle ! »

Décidée à s’accrocher à la vie, à  l’amour dans toutes ses dimensions, à son fils pour se relever et créer son empire, Manuella vous donne rendez-vous ce dimanche 22 mai 2022, à l’occasion de la première édition des conférences MANUELLAKEM. 

Vous êtes donc conviés en plein coeur de la ville lumière, au 5 rue de la paix, au Park Hyatt, pour poursuivre l’expérience exceptionnelle Manuellakem, qui a débuté sur les réseaux sociaux il y’a maintenant 5 ans.

C’est dans ce lieu emblématique, à la décoration feutrée et raffinée que votre qu’elle vous promets ainsi d’éveiller vos 5 sens, grâce à un événement haut en couleur et en animation.  L’occasion de vous aligner avec votre destin et réaliser des pas supplémentaires vers votre destinée.

Pour toutes informations et réservations, rendez-vous sur la page officielle de l’événement : https://manuellakemparis.com/pages/manuellakem ainsi que sa page : Manuellakem

 

|Santé mentale| Lettre à moi-même : je vaux mieux que ça !

Lettre à moi-même : je vaux mieux que ça !
Lettre à moi-même : je vaux mieux que ça !

Cet article est dédié à toutes les personnes, victimes de harcèlement. Vous n’êtes pas seules et vous valez mieux qua ça !

Il existe plusieurs types de harcèlement. Que se soit en milieu professionnel, familial, étudiant ou scolaire, beaucoup d’entre nous l’ont vécu et certains s’en sont sorti mieux que d’autres. Oui, le harcèlement est bien plus que ce dont on nous montre et pousse de plus en plus de jeunes à commettre l’irréparable à savoir le suicide. Je vais parler dans cet article du traumatisme scolaire, celui que j’ai vécu de l’intérieur.

Il ne m’est pas aisé de parler de ce traumatisme lié au harcèlement dont j’ai été victime, ni même des séquelles que je peux encore avoir aujourd’hui. A l’aube de mes 30 ans, il m’arrive d’y penser et d’en avoir les larmes aux yeux malgré le temps qui est passé. Je me suis toujours trouvé faible de ne pas avoir pu ou su réagir face aux attaques, aux humiliations et insultes que j’ai subie étant plus jeune. J’ai même pensé y être à l’origine, du fait de ma personnalité hypersensible et vulnérable. J’étais devenue une cible sur laquelle ils venaient se défouler, certainement pour se donner de l’importance, pour “exister” à travers le mal. 

Je tiens donc à aborder ce sujet pour, à la fois, sensibiliser les parents et futurs parents sur l’importance d’une éducation basée sur l’amour de soi, l’amour de son prochain et du respect d’autrui. Mais aussi à vous, qui êtes passés par là. Lorsque j’étais petite, j’ai très vite expérimenté le rejet. J’étais atteinte d’une maladie cutanée et aucun enfant ne voulait jouer avec moi. Certains parents avaient interdit à leurs enfants de m’approcher car selon eux, j’étais atteinte de la maladie du SIDA. Oui, c’est allé jusqu’à ce point! 

A l’école, je pleurais tous les jours si bien que ma mère venait deux à trois fois par semaine échanger avec la direction de l’école. 

Je voulais mourir, disparaître, j’étais mal dans ma peau. 

Puis au collège, je me suis dit que tout irait mieux, que j’allais enfin socialiser et avoir des amis. Pour une raison que j’ignore, j’ai toujours voulu traîner avec les plus “populaires” de mon établissement. Probablement parce que je voulais goûter à la sensation d’être “cool”, je ne saurais vraiment l’expliquer. Inutile de vous dire que c’était tout l’inverse. J’étais “The Outsider”, on n’aurait pas fait pire! Ces filles cool à qui je voulais ressembler m’ont mise à l’écart et rabaissé à la première occasion. Au fil du temps, j’ai compris que pour mon bien-être, je devais m’éloigner de ces personnes. N’essayez JAMAIS d’être la personne que vous n’êtes pas. Ça vous fera plus de mal que de bien. 

Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai fait des cauchemars et me suis réveillée en sanglots ou encore que je suppliais mes parents de me changer d’établissement. Je n’en pouvais plus des moqueries quotidiennes et des humiliations.

Arrivée à l’âge adulte, j’ai dû énormément travailler sur la question de la confiance en soi et de l’amour propre. Cependant, les séquelles restent et demeurent au fil du temps. Ces moqueries de l’enfance qui marquent encore la vie d’adulte, Doctissimo en parle plus en détail dans cet article. 

Ce qui m’a aidé à sortir de cette phase sont les messages d’excuses reçus de certains “bourreaux” une dizaine d’années plus tard. Je me suis dit “mieux vaut tard que jamais”. Cela m’a permis de regagner une certaine confiance et me dire que je n’étais pas fautive, que le problème ne venait pas de moi. J’ai conclu que pour agir de la sorte, eux aussi avaient certainement eu un complexe traduit par le besoin de s’affirmer, d’être méchant. Aujourd’hui, avec le recul, je n’irai probablement pas boire un café avec ces personnes, mais j’ai beaucoup de respect pour leur prise de responsabilité et l’humilité dont ils ont fait preuve pour présenter des excuses. Si vous avez eu à participer ou être l’auteur de harcèlement ou d’intimidation, il est encore possible de demander pardon à vos victimes. Cela vous permettra non seulement de vous racheter une “conscience” mais aussi d’apaiser ces personnes qui souffrent encore.

Vous devez à présent vous demander comment je me sens aujourd’hui et si je suis enfin en accord avec moi-même ? Pour commencer, je ne suis certainement plus là où j’étais hier et c’est très bien comme ça ! D’ailleurs, j’aime de temps en temps faire une liste de choses que j’apprécie chez moi et une fois dans le mois, avoir un moment rien qu’à moi où je me fais entièrement bichonner. 

Encore mieux, j’ai appris à lâcher prise concernant les choses qu’on ne peut contrôler à savoir l’opinion et l’attitude des autres. Une manière très polie de dire qu’il faut vous foutre de l’opinion des gens qui ne payent pas vos factures et qui ne vous apportent strictement rien dans votre vie. Vivez et soyez vous même, la vie est trop courte. Si on vous manque de respect, faites de même et doublement (dans la paix). Ne baissez jamais la tête devant qui que ce soit et affirmez vous.

J’espère sincèrement que mes mots résonneront dans vos cœurs lourds. Je vous encourage à pratiquer l’exercice d’introspection, à valoriser vos qualités et qui vous êtes, ainsi qu’à faire attention à ne jamais baisser votre estime de soi. Souvenez-vous que vous valez mieux que ça !

Prenez soin de vous.

|Entreprendre| TINY THINGS, rencontre avec la fondatrice d’une ligne d’accessoires de mode à l’air du temps

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Tiny Things
Tiny Things
Développer une activité parallèle à son activité salariée n’est pas chose facile et pourtant, de nos jours, de plus en plus de femmes veulent cet épanouissement financier mais aussi social. Cette double activité professionnelle qui les propulse au rang d’entrepreneur, marque aujourd’hui une nouvelle ère féminine qui entend bien s’étendre aux plus jeunes.

Nous avons rencontré la créatrice de la marque Tiny Things (@my_tinythings), entreprise de bijoux et accessoires de mode à l’air du temps, 100% en ligne et basée au Cameroun, à Douala. Herna M.  (@herna_hm) est l’une des pionnières de la vente de bijoux en ligne dans la ville de Douala. Depuis 2018, elle combine ses journées de travail à des soirées livraisons pour satisfaire ses clients. À quoi ressemble le parcours d’un entrepreneur au Cameroun ? C’est ce que nous avons cherché à savoir dans cet entretien.

Bonjour Herna, pourrais-tu te présenter et nous raconter les raisons qui t’ont poussé à créer Tiny Thing ? Et surtout que fait l’entreprise ?

Je m’appelle Herna, je suis jeune entrepreneur et fondatrice de la boutique en ligne de vente de bijoux et d’accessoires de mode Tiny Things. En parallèle, je suis consultante en audit et contrôle de gestion dans un cabinet d’audit. J’aime beaucoup le sport, les voyages et la mode. C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de lancer mon entreprise Tiny Thing et de mettre sur pied cette boutique en ligne.

Bijoux
Tiny Things – Bijoux et accessoires
Quand as-tu démarré tes activités et quel a été le déclic ?

J’ai ouvert mon entreprise en avril 2017, ma première boutique s’appelait « Tcho store » en hommage à ma maman qui s’appelait « Tchonang ». Ensuite en 2020, j’ai rencontré certaines difficultés notamment sur la plateforme Facebook, via laquelle mon compte avait été piraté. Résultat, tout était en stand-by et rien ne fonctionnait plus. Après avoir essayé en vain de convaincre Facebook de restaurer mon compte, je ne pouvais donc plus du tout y accéder et me trouvais dans l’obligation de les clôturer. À la fin 2020, début 2021, je crée cette fois-ci un compte Instagram, qui tourne plutôt bien jusqu’à présent et cette année je compte ouvrir un site internet.

Quel est le parcours de vente classique chez Tiny Things ?

Lorsqu’un client me contacte via la page Instagram de Tiny Things et nous laisse un message, j’effectue la prise de contact et le suivi de la demande via WhatsApp. Je prends ensuite les détails de sa commande, le mode de livraison, s’il souhaite être livré à la maison ou au bureau, ainsi que ses disponibilités. Dès que la commande est validée, on procède à sa préparation puis à sa livraison ou expédition en fonction de la localisation du client.

Comment est-ce que tu te préserves de clients « fantômes » ? As-tu déjà fait face à des échecs de livraisons ?

C’est une problématique dont je fais face tous les jours. Des clients qui valident une commande puis ne répondent plus au téléphone au moment de la livraison, cela arrive régulièrement. Généralement, il s’agit de paiements non encaissés à l’avance. Le livreur me retourne donc la commande qui est  automatiquement annulée. En revanche, concernant les expéditions hors de la ville, les commandes sont payées en avance.

Quel est le profil de tes clients ?

Pour la majorité, ce sont des femmes de 35-40 ans, une minorité ensuite de 60 ans et plus. Etant donné que je propose également des bijoux pour enfants, on peut considérer que les acheteurs font partie de ces tranches. 

Quelle est la stratégie de développement de Tiny Things? Quelles sont tes ambitions pour ta marque ?

J’aime aller à la rencontre des clients. Alors pour en attirer de nouveaux et faire connaître mes produits, je participe à de nombreux événements networking et séminaires, des ateliers de formations, etc. Le but étant de faire de nouvelles rencontres et distribuer des cartes de visite, faire connaître mon activité. 

Pour l’heure, les bijoux sont importés puisque je travaille avec des fournisseurs entre la France, la Chine et la Turquie. Par ailleurs, la crise covid a fortement impacté les coûts de transport, résultant donc à une hausse des prix. Je souhaite que Tiny Thing puisse grandir et devenir une marque de bijoux camerounaise fabriqués localement, afin de pouvoir élargir l’offre d’accessoires de mode et proposer par exemple des ceintures, des sacs à main, etc.

Quelles sont les difficultés que tu rencontres au quotidien ?

Je dirais les annulations de dernière minute comme l’exemple cité plus haut. La livraison, avec les zones peu desservies, et je rajouterais la fluctuation des prix d’achats qui ont augmenté de 80% depuis l’année dernière. Pour finir, je dirais la combinaison à la vie privée parfois difficile à manager, mais tout est une question d’organisation.

Puisqu’on s’adresse à une cible particulière de femmes qui entreprennent au quotidien en s’appuyant sur leurs rêves et passions, qu’est-ce qui nourrit cela chez toi et fais de toi une Super Ambition Girls ?

Ce qui fait de moi une Super Ambition Girls c’est ma capacité de travail et mon talent sans vouloir me vanter, je me trouve assez focus et m’arrange à bien faire tout ce que j’entreprends. Bien sûr, je priorise mon temps et je suis très organisée, il le faut bien !

http://www.instagram.com/p/CXPJRlzIDWH/

Pour retrouver les créations Tiny Things et passer vos commandes, rendez-vous sur : @my_tinythings

|Ambition| Les 3 Attitudes essentielles d’une femme ambitieuse

Lena Situations
Lena Situations

Les femmes d’influences que nous connaissons ont une certaine routine, ou habitudes qu’elles adoptent dans leur quotidien. Tout comme cette powerful attitude qu’elles affichent en public, il s’agit de trouver la bonne dose d’un peu de si et de ça qui vont vous permettre d’incarner vos ambitions. Parce que vous avez une vision claire, il ne reste plus qu’à adopter ces 3 attitudes de femme ambitieuse pour façonner votre destiné.

Investissez sur votre bien-être et confiance en soi

L’investissement passe aussi par son bien-être, sa santé intérieure et psychologique. Il faut être capable de comprendre l’importance de sa santé mentale et physique. Ce sont des moteurs de nos projets et nos ambitions, sans cela nous ne parvenons à rien.    

Alors dégagez un budget conséquent pour participer à des ateliers sur le développement personnel, des événements à thème, offrez-vous une nouvelle tenue de sport, participez à cette marche organisée dans votre ville tous les dimanches. Il faut s’imposer une pratique régulière pour entretenir son corps et son esprit.

Assumez vos ambitions et ne vous retenez pas d’être qui vous êtes

De nos jours, avoir de l’ambition est devenu un problème (pour ceux qui n’en ont pas), certaines fois on n’ose pas parler de ses projets, de ses grandes réflexions. Vous avez une âme de révolutionnaire ? Ne le cachez pas. Construisez le parcours qui vous mènera à votre succès. Ne vous excusez pas de viser les étoiles. Que ce soit dans votre quotidien familial, la manière de vous vêtir, de vous exprimer, de vous présenter au monde, assumez votre différence et surtout votre caractère. Avoir de l’ambition est une qualité, mais ne pas l’assumer est une faute.

Soyez vraie avec les autres et ne trichez pas !

Être ambitieuse signifie aussi savoir s’entourer de personnes à son image. Bien que le réseau soit un élément essentiel à la réussite, il faut pouvoir apporter aux autres ce que l’on souhaite recevoir. Cet état d’esprit d’entrepreneur doit s’accompagner d’une attitude à la hauteur de ses prétentions.

Pour construire un environnement sain, les gens attendent davantage de sincérité et d’attention dans les échanges. Toute relation construite sur de fausses apparences est vouée à l’échec. Soyez vous-même, courageuse, sincère, attachante, avenante, courageuse. Ne faites pas semblant pour plaire aux autres, gardez votre naturel et votre authenticité.

Avoir de l’ambition est une force mais encore faut-il pouvoir l’assumer, le vivre complètement et ne pas s’en cacher. Ces 3 attitudes vous aideront à incarner pleinement cette femme ambitieuse en fort développement pour la réussite vos projets.

 

©Crédit photo : Léna Situations

|Ambition| The Smart Money Woman – Parlez-vous business ?

The Smart Money Woman
The Smart Money Woman
|Série Coaching| En 2021, nous avons été positivement inondés de contenus Afros visant à analyser les sujets touchant à la communauté : les relations de couple Afro, coaching, business, le rapport à l’argent,  le rapport à la culture et la famille. Parmi ceux qui nous ont particulièrement marqué en 2021, The Smart Money Woman a  remporté la palme de la série-coaching business à la plus large variété de sujets traités.

Malgré son contenu exceptionnellement de bonne qualité, l’audience de cette série n’a pas été aussi explosive que celle de #INSECURE, par exemple (série également portée sur la cause afro-féminine), certainement du fait que ce soit une série africaine et donc d’une moins grande portée. (il est vrai qu’on ne peut pas vraiment comparer ces deux productions #Prime Vs #NetflixAfrica).

Revenons sur la création de cette série Nigériane, basée sur un roman du même nom paru en 2016, écrit par Arese Ugwu. La série aurait été produite par Arese Ugwu elle-même et Kemi Lala Akindoju, qui joue le rôle de Adesuwa, exclusivement pour jouer et donner vie à ce qui était dans le roman. 

La série parcourt l’histoire de cinq meilleures amies très attirantes, belles et indépendantes qui ont tout pour réussir : Zuri, Tami, Lara, Adesuwa et Ladun. Chacune fait de son mieux pour gérer les hauts et les bas imprévisibles de leur vie bien agitée. Une chose les réunit : c’est l’amitié solide qu’elles ont construite au fil des années. Devenus des femmes, elles doivent à présent prendre le contrôle de leurs finances et de leurs déboires amoureuses. Gérer la pression de leurs familles, de l’influence de la société qui va peu à peu affecter leurs budgets et dépensent, ainsi que leur rapport avec les hommes.

Parmi les thèmes abordées, nous avons regroupés 4 grands sujets qui méritent d’être débattus :

  • L’argent dans le couple : Comment gérer une relation financière déséquilibrée ?
  • La culture des dépenses : Quel est l’ impact de la société de consommation et de notre environnement sur nos propres finances ?
  • Le célibat dans la culture africaine : Les conséquences du poids de la pression familiale au mariage

Cette série présente et enseigne également comment les femmes devraient apprendre à investir en elles-mêmes au milieu de pertes amoureuses et financières. La partie qu’on a adoré, c’est évidemment les citations à retenir à chaque épisode.

« Pour maximiser votre capacité de gain et avoir la possibilité d’investir, vous devez poursuivre une carrière qui vous passionne et créer plusieurs flux de revenus. Cela ne signifie pas nécessairement que vous devez devenir un entrepreneur. La réalité est que tout le monde n’est pas fait pour être son propre patron et vous devez l’apprendre très tôt. »

Une réelle leçon sur la façon de devenir une femme à l’argent intelligent, peu importe les défis auxquels nous sommes confrontées et à la pression de la société.

The Smart Money Woman est une vraie thérapie d’après rupture ou échec, une bûche de conseils pratique dans sa vie d’entrepreneuse, de femme à projets. Il nous enseigne le pouvoir de la détermination, l’optimisme et le pouvoir de l’amitié (la vraie). C’est un coaching de vie gratuit à voir absolument pour s’en sortir en 2022 ! 

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